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The Real Kristen Stewart
29 juin 2015

American Ultra: Interview pour Collider

Nouvelle interview de Kristen et Jesse Eisenberg pour Collider ...

 

American-Ultra-Affiche-Jesse-Eisenberg-Kristen-Stewart

 

(Merci de créditer le blog si vous postez cette traduction ailleurs)

 

Journaliste: Et c'était assez impressionnant à regarder vous faites une sorte de chorégraphie aujourd'hui. C'est très différent pour vous.

Jesse Eisenberg: Certainement, je n'ai jamais fait ça.

 

J: Très différent de tous vos autres films.

Eisenberg:  Oui, nous avons été formés pendant un certain temps.

 

J: Appréciez-vous toutes ces choses physique et scènes d'action?

Eisenberg: Ouais. J'ai commencé il y a quelques mois parce que mon personnage devait être entrainé, mais qu'il ne s'en souvient pas. Il fallait que les choses lui vienne instinctivement.

 

J: Vous avez le physique, mais vous n'étiez évidemment pas en vrac parce que vous devez jouez le gars stone de sorte qu'il est le plus souvent en train de faire  une danse plutôt que de faire usage de la force ou ce genre de chose?

Eisenberg: Ouais. J'étais dans le Michigan pendant un mois ,et ils ont embauché ces grands gars, et chaque jours de congé, je devais travailler avec eux. Ils m'ont enseigné les techniques de combat du Sud-Est asiatique et Rob Alonzo, le coordinateur des cascades, est originaire des Phillipines, dont il sait ..

 

J: Nous parlions justement de lui

Eisenberg: Oh, vous parliez de lui, ok.

 

J: Comment avez-vous aborder le projet? Est ce que vous avez lu le script, puis vous vous êtes dit: "Wow! Je veux être ce personnage!"?

Eisenberg: Ouai, c'est un grand rôle. Je pense que le scénario à été terminée la semaine où je l'ai lu et j'ai tout simplement adoré.

 

[Kristen Stewart se joint à l'interview]

 

J: Jesse nous as dit combien il a adoré le script qu'il a lu, pouvez vous nous dire ce que vous en avez penser?

Kristen Stewart: J'ai lu le script d'une manière très directe et classique, comme tous les acteurs qui se vont envoyer des script de leur agent. C'était vraiment un script original et étrange, je n'avais jamais lu quelque chose comme ça et c'était l'occasion de retravailler avec Jesse. Nous avions vraiment passé un bon moment sur Adventureland, il y a de ça quelques années, et j'avais en quelque sorte déclarée que nous devrions refaire un film tous les cinq ans. Donc, en accord avec ça, j'ai sautée sur l'occasion.

 

J: Max [Landis] nous disait que, pour vous Kristen, cela avait été le rôle le plus proche de votre personnalité. A-t-il raison de penser ça?

Stewart: Phoebe est une fille à la fois folle et douce, c'est une fille assez modeste. Je ne pense pas avoir à faire certains de ces caprices, et je ne dois pas apporter certaines choses qui feront d'elle une fille très différente de qui je sais vraiment. Je pense qu'il à dit juste dans le fait que je me plonge dans cette expérience très surréaliste, étrange, accre et unique, de sorte que - d'une manière assez incroyable, il l'as créer toute entière, mais dans une ligne assez lente, il était comme "Quoi?". Il ne sait certainement pas mis dans notre réalité, mais c'est hyper-réeel d'une drôle de manière. Donc, le personnage est une sorte de sujet - la difficulté pour moi à été de conserver ses secrets tout en ne révélant rien de l'intrigue, je suis pas censé être comme ça au début. Ensuite, il vous rassure vous dit que tout est bien, dans l'émotion tout en étant drôle. Il est comme, nous sommes toujours sur le point de mourir, nous sommes constamment, constamment sur le point d'être tué ou de tuer quelqu'un, et pourtant dans le même temps il y a aussi une large partie de comédie, afin de pouvoir équilibré le film et c'était là toute la difficulté. De sorte que moi-même je joue essentiellement, comme si je vivais cette ...

Eisenberg: Situation très bizarre.

Stewart: Exactement.

 

J: Parlez-nous un peu de l'apparence de vos personnages, nous savons que vous avez teints vos cheveux, vous avez apporter un aure regard sur vos personnages? Comment était il dans le script et comment est ce de travailler à leurs développement?

Eisenberg: Je voulais juste porter une perruque avec les cheveux longs, parce que mon personnage est quelqu'un qui n'as pas entretenu sa coupe de cheveux depuis plusieurs années. C'est quelqu'un qui plonge dans sa propre paresse et jouissant de sa propre paresse. Donc je me disait: "Il n'aura pas de coupe de cheveux. Il ne veut pas prendre soin de lui, de quelques manières que ce soit". et d'un autre côté il donne le meilleur de lui quand il doit se défendre. Donc, c'est un gars qui ne pouvait pas être moins bien préparé à faire tous ça.

Stewart: Nous avons un peu parlés à Max. Je pense que l'idée de base avant que tout ne deviennent une chose plus réelle est que si vous prenez les gens les plus improbables, comme deux petits stoners rester dans l'enfance, comme Jesse et moi, et que tout à coup vous les jeter dans un très-haut débit, et très intense, le film d'action devient désarmant de réalisme et très drôle. Il n'est pas familier, il est un peu choquant, afin de faire quelque chose de percutant, qui est la base pour vouloir faire ce film. C'est comme, quand il a voulu que je teigne mes cheveux, il y a plus d'un an, mais que le résultats n'était pas celui qu'il voulait, j'ai assez flipper. Nous sommes très directionnelles. Il n'y a rien qui définissent vraiment nos regard, tout est très aléatoires, confortable et pratique, et nous essentiellement stones. Donc, ce fut tout ça.

 

J:Parlez-nous un peu de la scène que nous avons vu aujourd'hui? Je sais que ça va prendre une paire de jours. Mais ce que vous faites dans ce supermarché est juste Kick Ass et assez bizarres. Quel est l'objectif de cette scène?

Stewart: Dans cette scène?

J: Oui.

Stewart: C'est difficile parce que je ne suis pas autorisé à en parler. Vous voyez ce que je veux dire?

Eisenberg: Oui, c'est une tentative pour garder une part de secret, je ne sais pas ...

J: Ils nous ont presque tout dit.

Eisenberg: Oh, ils vous ont tout dit?

Stewart: Tout? Ca craint!

 

J: Je pense qu'ils nous en ont dit un peu plus que vous les gars, ils préfèrent sans doute tout nous dire, mais c'est ça de faire des interview séparées, donc je ne sais pas ce que vous avez le droit de dire.

Stewart: Je veux dire, fondamentalement, nous avons tous tourné le film. Nous commençons à un point de notre relation où vous pourriez l'appeler un peu comme étant une période de troubles, où au début nous ne sommes pas très heureux l'un avec l'autre, puis le film passe, et vous voyez à quel point ils s'aiment. Ils sont vraiment, vraiment obsédés l'un par l'aute, et c'est une chose de très pure. Tellement vrai. Fondamentalement, il va revenir sur le devant de la scène pour venir me sauver, et ce sera une sorte de réconciliation entre eux. Parce que toute leur histoire, est vraiment douce, c'est une simple histoire d'amour, et c'est vraiment un crève-coeur de voir tout son passé lui revenir en pleine face et il va devoir assumer ... Devenir un homme et faire en sorte de se racheter. Il fait vraiment un pas vers elle, et c'est son putain d'homme, puis il obtient son pardon, elle revient et tout fini bien.

 

J: Max Landis à dit de vous, Jesse, que l'objectif de votre personnage ne change pas de tout le film, que vous souhaitiez la demander en mariage et vous marier avec elle. Est ce une description exacte?

Eisneberg: Oui, au début du film, il a une bague et il à l'intention de la demander en mariage le jour même, puis sa vie part dans tous les sens. Il garde la bague dans sa poche tout le long du film et il cherche de petits moments où il pourrait faire sa demande, mais c'est alors les gens essaient de les tuer [rires] donc à chaque fois il est interrompu. Mais il est vraiment adorable. [rires]. Et il n'as pas de tact du tout,  il a le chic pour essayer de faire sa demande aux pires moments possibles, et il a la chance d'être à chaque fois interrompue. Mais il est dans la course, c'est une douce plaisanterie.

 

J: Je suis un peu curieux, la comédie vie plus aux travers des situations et des dialogues ou est jouez-vous juste de cette façon?

Eisenberg: Je pense que nous sommes conscient de la part d'humour, mais les scènes que nous avons eues ont été étonnamment dramatique. Quand vous lisez le script, vous pouvez comprendre qu'il y a des scènes très dramatiques. Les personnages connaissent quelque chose qui va être bouleverser, mais ils doivent en faire l'expérience d'une façon réelle. Je pense à ça et à Kris, et je parlais de ça lors des répétitions, mais ce sera le film le plus émotionnel que nous ferons pendant un certain temps, même si il est problable que le public le trouve plus amusant. Mais en tant qu'acteur, on se mets dans certaines situations et certains d'entre nous ne font pas semblant, pour ainsi dire. Nous vivons des émotions réelles et il y a plusieurs scènes du passé, mais vu le contexte elles devaient être drôle, mais ça ne repose pas nécessairement sur nous de faire des choses stupides.

 Stewart:Vous savez, il était nécessaire de faire un tri et de déterminée ce qui serai de domaine de la plaisanterie - parce que pendant la lecture du script, il y a des blagues ce que je devais dire sur l'amour qui m'ont véritablement faire rire, et puis vous arrivez à vous reprendre et vous dites:" Nous ne pouvons pas faire ça! Ca va être répéter partout!".

Eisenberg: C'est trop stupide.

Stewart: Oui exactement. Et puis, il y a d'autres choses comme: "Je ne pense pas que ça pourrai être drôle, je pensais que ça allait être joué complètement différemment", mais le ridicule de la situation ne peut être ignorer et donc nos personnages peuvent se dire des choses à la fois stupide et drôle. Il est vraiment drôle et constant, mais je pense que le film va être hilarant. Je ris tous les jours, même quand nous sommes en train de perdre nos vies.

 

J: Comment Nima [Nourizadeh] à orchestrer tout ça, et comment vous aidez-t-il à entrer dans votre rôle? Quand vous veniez de tournez une scène, était il du style à dire: 'Cela pourait être un peu trop stupide"?. Comment fait il pour vous parler?

Eisenberg: Nima fait les bonnes choses, en tant qu'acteur, il va vous demander de faire ce tous ce qui émotionnellement possible avant toute autre chose. Avec mon expréience, les choses sont généralement plus drôle si, et ça le sera, si vous faites en sorte de ne perdre le fil avec la réalité. Il est impressionant, il a comme, une certaine attention obsessionnelle du détail, peut être que l'avez vu ... Je ne sais pas si vous avez attentivement regardé, il essaye d'obtenir quelque chose de correct en une miliseconde. Et il est donc impressionnant, et je pense qu'il prolonge l'action aussi, il nous demande de faire les choses à fond.

 

J: L'une des choses dont nous ne cessons de parler c'est la créativité physique du film, et de la créativité de certains actes de violence et de mort, et nous avons vu votre personnage faire tout cela. A propos on ne vous a pas entendu Kristen, comment avez-vous  fait pour les parties physique, et les parties créatives, amusantes, étranges?

Stewart: Je ne ... Je suis en train de réfléchir ... Je ne tue personne - en faite si, je tue deux personnes, mais avec une arme à feu, donc je suppose que ce n'est pas très créatif. Voila le moyen le moins créatif pour tuer quelqu'un, en fait.

Eisenberg: Vous êtes problablement juste en train d'attendre qu'ils meurent.

Stewart: En fait, oui, vous avez raison. Mais alors je ne serait pas vraiment celle qui devait les tuer ... et ce qui extrêmement créatif. Je vais simplement m'asseoir ici et attendre.

 Eisenberg: [Rires] Ouais, pense à verrouiller la porte.

 

J: Je suis curieux avec vous deux, vous travaillez ensemble pour la première fois depuis Adventureland, c'était comme une réunion?

Stewart: Carrément. Je pense que Jesse et moi nous avons une manière de travailler très similaire. C'est difficile de mettre le doigt dessus, mais notre approche est juste très simillaire. Je ne sais pas, je pense que nous répétons de la même manière, la façon dont nous nous préparons pour les tournages est similaire. Nous sommes vraiment aller au fond des choses, et on se sens parfois irrespectueux envers soi-même. Tu vois ce que je veux dire? Il as vraiment abuser de la merde et d'étranges souvenirs vont le rattraper. Je pense que nous avons tous les deux la bonne expérience pour faire ce genre de choses, et si nous avons choisit ce projet, c'est parce que nous avions vraiment une bonne impression. Je suis vraiment à l'aise avec lui, je me sens en sécurité, je veux faire quelque chose. C'est marrant. Je pense que c'est assez amusant de trainer ensemble, et c'est ce qui fait ce c'est une bonne expérience.

Eisenberg: Ouais, je ne pourrai jamais m'arrêter de parler d'elle. C'est une actrice phénoménale. Je me souviens la première fois que nous avons travailler ensemble, elle avait dix-sept ou dix-huit ans, quelque chose comme ça, et dès la première scène je suis allé voir le réalisateur et je lui ai dit: "Elle est vraiment drôle!" Et il m'as répondu: "Ouai, je sais", et j'ai rajouté:"Non, non. Elle est vraîment drôle. Elle est véritablement très drôle!". Elle le fait d'une manière très naturelle, sans attirer l'attention sur elle pour être drôle, elle a un grand sens de l'humour avec tout le monde.

Stewart: Parfois, il semble prendre les choses personnellement.

Eisenberg: Par accident.

Stewart: Ouais.

Eisenberg: Mais elle est quand même la personne la moins futile que vous avez jamais rencontrer, et c'est aussi une jolie femme, donc -

Stewart: Il est vraiment futile, toute la journée, et je suis genre "Putain!". Il est dans la loge maquillage beaucoup plus longtemps que moi.

 

J: J'allais le dire, il semble plutôt beau.

Stewart: Ouai [Rires]

Eisenberg: Mais de toute façon, elle semble aimer servir l'hisoire et mettre en avant les autres acteurs avant elle-même, ce qui est une merveilleuse qualité.

Stewart: J'approuve.

 

J: Topher [Grace] parlait des textes et des monologes de son personnage. Je suis vraiment curieux à propos de l'écriture de Max quand il est venu à parler des plaisenteries, et il semblai que vous avez eu le temps de faire d'en faire quelques bonnes. Mais est ce qu'il y a eu une scène est particulier qui sortait du lot quand vous avez lu le scrit?

Eisenberg: C'est un merveilleux écrivain, et il décrit ses personnages de façon spécifique et réels, ils semblent être venus d'ailleurs, mais ils sont très réels. Nous avons cette scène où nous allons à la fête d'une de ses amie, que je suis un peu renfermé dans un coin, et je pense que je suis un mec bien  et qu'elle devrait en profiter, et elle vient un peu comme une héroine et me sauve de la fête. Mais plus tard, cette nuit là, nous sommes assis sur le capot de notre voiture et sur la route il y a une voiture accidentée et le mec à traversé le pare-brise, vous ne le voyez pas, toute la scène est de notre point de vue et nous regardons loin vers en bas, et je commence à lui dire que je me sens comme l'arbre coincé par cette voiture, et qu'elle est la voiture. Et cet arbre vient d'être déraciner pour longtemps et que la voiture semble avoir rouler pendant si longtemps, et soudain cet arbre en cette nuit merveilleuse, voit cette chose en mouvement qu'est la voiture. Et je suis l'arbre. Et il est juste vraiment doux, il a des mauvaises herbes vous le savez, c'est un fumeur donc il n'as pas forcément les idées claires, mais il est tellement beau et il résume leur relation de manière assez douce. La façon dont ils pensent l'un à l'autre et pour Kristen c'est navrant parce qu'elle a une part de responsabilité dans tout ça.

Stewart: C'est horrible, incroyable comme elle se sent responsable. Que vous ne trouviez pas les choses, jusqu'à ce que la page ...

Eisenberg: Correct.

Stewart: Il va tellement loin dans le film!

Eisenberg: Donc, il fait des choses comme ça et tout devient tellement plus spécifique et plus significatif, parce que Kristen connaît ses deux personnalités, etque je suis obligé de vivre avec, et d'une manière très personelle. Il est merveilleux, un peu spécial.

 

 

Source interview: KstewartNews

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