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The Real Kristen Stewart
15 août 2015

Interview: ELLE UK

En Juin dernier, Kristen à été interviewée par Juliette Lewis pour le magazine anglais ELLE ...

 

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(Merci de créditer le blog si vous postez cette traduction ailleurs)

 

Prenez une actrice rebelle et faites lui rencontrée une autre. L'actrice et chanteuse Juliette Lewis interview Kristen Stewart.

Avez-vous déjà vu Kristen Stewart prendre un selfie? La réponse à cette question en dit long. Elle est la seule membre dans la A liste à avoir bâti sa carrière en étant une énigme à elle tout seule. Dans une mer où tous les excès sont accordés aux vertigineuse starlettes, Stewart à une personnalitée aussi mystérieuse qu'un rocher de star tels que Joan Jetts, Kim Gordon ou encore Patti Smith.

A 18 ans, elle est devenue l'actrice la plus célèbre du monde pour avoir jouer une adolescente qui se mord les lèvres et qui tombe amoureuse d'un vampire. Comme Bella Swan est la partie centrale du film, elle as gagnée 8 millions de dollars (il y en avait cinq).

Pour la plupart des actrices, ce genre de victoire au box-office serait soit une bénédiction soit une malédiction. Il peut être difficile d'échapper à un tel rôle. Et une autre actrice serait peut être toujours coincé dans cet enfer. Mais pas Stewart. Elle à briser le moule et chaque code, avec sang-froid.

Elle a choisi des rôles dans des films indépendants comme celui de la rebelle d'Hollywood - Joan Jett dans The Runaways - ou de la sauvage Marylou dans l'adaptation du roman de Jack Kerouac - Sur la Route de Walter Salles et elle est la fille boudeuse de Julianne Moore dans Still Alice, sorti l'année dernière. Et elle a travaillée avec les plus anciennes maison de la mode, Balenciaga et Chanel. Maintenant, il y a American Ultra, un thriller d'action et décalé centré sur deux paumés, joués par Stewart et son ancienne co-star dans 'Adventureland', Jesse Eisenberg.

A bien des égards, Juliette Lewis, native de Los Angeles comprend ce que cela fait de grandir à contrecoeur sous le feu des projecteurs, elle était comme Kristen Stewart en son temps. Elle à été nominée aux Oscars pour 'Cape Fear' à l'âge de 18 ans, puis elle a continuée à jouer dans des films appreciés par les critiques comme 'Natural Born Killers' d'Oliver Stone, ou encore 'From Dusk till Dawn' de Quentin Tarantino. Et puis Lewis à été la compagne de la grande star Brad Pitt dans les années 1990, tout comme Stewart avec Robert Pattinson en 2010. Mais c'est une rebelle, et elle as trouvée une nouvelle vie grâce à son groupe 'Juliette and The Licks'.

Après une première rencontre sur un plateau il y a 13 ans, nous les avons réunient dans la maison de L.A de Lewis pour discuter de refus, de compromis et de puissance. Et ELLE les as écouter.

 

JULIETTE: Je vais juste d'introduire Teddy, mon chien, sur cette cassette, il renifle Kristen. D'habitude, il ne s'approche pas tout de suite des gens, mais il est vraiment gentil avec elle.

KRISTEN: Je ne peux pas avoir un crédit pour ça. J'ai trois chiens.

 

J: Etes ce que tu es une personne à chien ou une personne à chat?

K: Eh bien, j'ai trois chiens [Bear, Bernie & Cole]. Ils me font me sentir en sécurité. Mais j'aime beaucoup les chats. J'avais un chat pendant de nombreuse années j'en étais obsédée, mais quand mon père, John, à eu un cancer, il l'as emmené et je n'ai pas eu le coeur à le lui reprendre quand il allait mieux. Ils étaient devenus si proches.

 

J: Tu as toujours la même energie depuis que j'ai travaillée avec toi il y a 13 ans [sur le tournage de 'The Cold Creek Manor']

K: Quand j'étais gamine je croyais que tu étais tellement cool.

 

J:Tu as une voix distincte. Pas seulement dans ta façon de parler mais aussi dans ta nature - c'est de habituel. Je vais peut être être maladroite et te dire que tu dois la James Dean au fémnin.

K: Oh, putain.

 

J: Mais tu est un peu un plus rugueuse. Si il y avait eu un combat entre toi et James Dean, je pense que tu aurai gagner. Je pense que tu est une baragareuse. Tu peux en donner des coups de poings.

K: J'aime quand les gens pensent ça. Je ne sais pas si je le suis vraiment. Mais si ça viens d'elle, et que quelqu'un fait genre "Nous faisont ça" alors je suis plus aussi confiante que j'en ai l'air. Je serai style " Vous voyez en bas. Il n'y a pas moyen, ce serait l'enfer pour moi".

 

J: Toi et moi nous avons certaines choses en commun et qui font notre force. Beaucoup de gens pensent que je suis vraiment froide, et de pouvoir en parler avec toi, eh ben, tu t'en sort vraiment bien. [Une personne] n'aurai pas envie de te n*****. Mais je sais aussi que les gens qui paraissent froids à l'extérieur sont aussi beaucoup plus doux.

K: Effectivement ça sonne comme si tu décrivai Joan Jett. Pouvoir la connaître à été la chose la plus intéressante pour moi - j'étais totalement intimidée et totalement persuadée que je ne pouvais pas être dans ses chaussures, putain je ne pouvais pas les prendre. Elle est très précieuse.

 

J: Est ce que 'The Runaways' à été un véritable tournant pour toi?

K: Jouer quelqu'un que tu respecte vraiment - pour ne pas dire idolatre, car le mot est faible - est une grosse histoire. Joan Jett est quelqu'un de phénoménal. La renconter, c'est quelqu'un de bien, je ne pouvais pas lui dire que j'avais chaud aux fesses. J'étais en train de tourner les films de la saga Twilight, et de les tourner quasiment coup sur coup c'était tellement fou que j'étais prête à tout pour jouer ce rôle entre les deux films.

 

J: Les films Twilight sont une énorme partie de ta vie. Je pense que nous sommes le bon binôme pour en parler aujourd'hui, parce que tu n'as choisit la voir de la plus facile. Choisir la facilité pour quelqu'un comme toi ça aurait été de faire Twilight puis d'autres films où tu aurai pu changez d'apparence en faisant des histoires d'amours qui font pleurer tout le monde. Mais intuitivement tu savais: "Je dois faire quelque chose de différents, je dois grandir, je dois vous assurer que je ne vais pas rester enchaîner à ce système ou à ce qu'il à été prédit pour moi..." Comment ça ce fait?

K: J'ai grandi à Los Angeles et j'ai commencée à auditionner quand j'avais neuf ans. Ma mère, Jules, était scénariste et mon père faisait de la télévision en direct, il était producteur adjoint. Alors, quand j'ai commencée à grandir, je voulais juste être dans le staff. Mais je me suis retrouvée à auditionner pour des trucs et à être détournée de quoi que soit qui puisse être commerciale. Je suis une indie entourée d'indie - et tous les ces trucs étranges et excentriques. Et puis est arrivée Twilight. Nous ne savions pas que nous allions faire plus d'un film, mais Catherine Hardwicke le réalisait et je me suis doit: "Ce qu'elle fait est cool." Ensuite, c'est devenu quelque chose de complètement différent. Mais je n'ai jamais décidée: "Bon, maintenant je vais équilibrer le mécanisme de ma carrière."

 

J: En fait on peut paraître semblable, mais mon père est un acteur de caractère et j'ai donc moi aussi grandi sur les plateux de cinéma. Pense-tu que maintenant, avec les médias sociaux et les personnes qui créer leur propre art, c'est un bon moment pour le cinéma?

K: C'est difficile pour moi de ne pas parler de la difficultée à obtenir de bons rôles, parce que j'ai expérimenter ce genre de choses. Mais je reconnais que tout le monde n'est pas obsédés par l'argent et que certaines personnes sont prête à faire n'importe quel film, du moment qu'il y est absolument de signes du dollar.

 

J: Qu'en est il de ton nouveau film 'American Ultra'? Je veux tout savoir.

K: C'est un film décalé, une comédie avec une histoire d'amour et un thriller avec de l'action. C'est un peu comme un film à la Jason Bourne, mais avec Jesse Eisenberg et moi c'est à un niveau incroyablement élevé.

 

J: Tu me tente avec le mot thriller. Est ce que un grand choc des genres. Ce film semble ambitieux et c'est la seule façon de le faire. Et avec des gens dont le travail est de simplement de faire de bôites de sexe de Raisinets (raisins secs enrobés de chocolat) au cinéma.

K: En fait, je pense que nous allons vendre des Raisinets dans le film. C'est la première fois que je ne fait pas quelques choses en me disant "Il n'y a aucune raisons pour cela ne fasse pas beaucoup d'argent". Habituellement, je termine un film et je me dit: "Oh mon Dieu, et si personne ne voulais le voir?".

 

J: J'ai envie de dire aux gens qui nous lisent et qui n'ont pas notre expérience. Il y a une chose avec les femmes qui deviennent célèbres, elles perdent leurs anonymats et commence à se demander "Dois-je vous faire plaisir?'. J'ai appris maintenant que je ne dispose pas toujours de réponse. Quand les photographes s'approche de moi à l'aéroport à 7h du matin, je suis genre "Mec, tu veut vraiment une photo de moi à 7h du mat' à l'aéroport?'. Mais je vais le dire avec un sourire. Ca à été une grande source d'apprentissage, mais tu peut aussi le dire de façon pas très aimable.

K: Totalement. Il y a quelque chose de si naturel en disant oui. Je pense que les femmes ont une tendance naturelle à vouloir satisfaire les gens.

 

J: En fait, je ne regarde pas que ce que dit la presse. Pour moi, la vie la vraie c'est dans les livres, la musique et les gens. Je devais sortir de cette forme de procès. Mon réseau social est l'endroit où je reste connectée, et je le trouve vraiment beau.

K: Je suis d'accord avec toi. Je ne suis pas contre les médias sociaux, je ne suis juste pas décidée à le faire. J'ai Instragram pour communiquer avec mes amis, mais l'idée d'aborder un tel groupe de personns sur les médias sociaux? Je peux à peine faire une interview télévisée. Je sais comment te parler maintenant, et quand je suis assise sur une chaise face à Jimmy Kimmel, je sais aussi comment lui parler. Mais je dois être dans une certaine zone de confort avec lui, parce que si je ne sais pas à qui je parle, ça n'as pas de sens pour moi putain.

 

J: J'ai lu de petits bouts des conneries que la presse dit sur toi, où les gens jugent que tu ne souri pas. Tu ne devrai jamais avoir à te défendre, mais ce que j'aime chez toi c'est que tu es de nature intransigeante, mais tu n'es pas une connasse.

K: Cette histoire du sourire est bizarre parce qu'en faite je sourit beaucoup. Je peux littéralement être genre: "Mec, tu penseras que je suis cool si tu cherchais à me connaître!". Mais beaucoup de gens se font beaucoup d'argent avec ce trait de caractère qu'ils me assignés, ainsi de nombreux articles sont écrits tous les jours à ce sujet, et si ils changeait cette image, ce ne serait pas logique.

 

J: Et si en plus ils obtiennent des images pour alimenter tout ça. Je ressens les gens quand ils sont faux, et sont parfaitement équipées face à cette culture publique, comme les politiciens. Pour moi, ça fait peur.

K: Je ne suis pas un politicien. Les gens pensent qu'ils peuvent les faire, comme si c'était un service public. Mais vous ne devez pas, vous avez juste à faire votre travail.

 

J: Qu'en est il de tes proches amis d'enfance?

K: J'en ai un tas effectivement. Je dois en avoir cinq ou six. Nous sommes un petit groupe mais nous nous connaissons depuis toujours.

 

J: Je trouve que la chose la plus difficile est de savoir comment les autres gèrent la renommée. Certaines personnes veulent vous protéger. Certaines personnes sont nerveuses et d'autres font des trucs bizarres dont vous ignoriez tout dont leurs reaction face à la célébrité. Y a-t-il ce décalage? As-tu ressenti un changement de dynamique dans le groupe? Je n'ai jamais eu à faire face à ce niveau d'idolâtrie, comme quand les gens te voient comme quelqu'un de fermer, où ils vont placer tous leurs espoirs et les rêves sur toi.

K: Parce que je suis vraiment vraiment célèbre, une journée c'était un peu comme "What the fuck?". Tout le monde à été au lycée et je n'y suis pas allée, donc j'ai un peu perdu le contact avec le groupe. J'étais avec mon copain tout le temps. Mais ensuite, j'ai vraiment fait l'effort conscient, de les retrouver et de leurs dire: "J'ai besoin de vous." Maitenant, ils sont vraiment génial, ils sont tous très protecteurs.

 

J: C'est gentil. Il semble que tu sais ce dont tu as besoin en amitié, plutôt que de rester isolée et loin d'eux. Au lieu de ça, tu gravite vers eux. Comment arrive-tu à faire redescendre la pression? Aime-tu aller dans des soirées où la danse fait rage? Tu vois ce que je veux dire.

K: Je joue de la guitare.

 

J: Putain! Tu n'est pas plus douée que moi. J'ai eu du mal à avoir le doigté. Tu as appris la guitare sur le tournage de 'The Runaways'?

K: J'ai commencer à jouer quand j'étais plus jeune. Mon père en joue, donc j'ai eu la chance d'apprendre les accords de base quand j'étais toute petite, et évidemment, je me suis assise dans les caravanes donc j'ai eu le temps de pratiquer.

 

J: Joue-tu pour te détendre?

K: J'aime jouer de la guitare, mais ça ne me détend pas. Ca me rend folle. Je suis "Ahh, non, ce n'est pas ce que je voulais jouer." Je n'ai pas de rythme. Mais j'aime ça.

 

J: Quelle compétence aimerai tu avoir? Je veux apprendre à combattre. J'espère pouvoir continuer avec le karaté que j'ai commencée quand j'étais petite.

K: Je pense que la chose la plus farfelue que je pourrai faire serai quelque chose comme devenir une putain de grande danseuse.

 

J: Tu parle de hip-hop, de danse de rue, de breakdance ou de ballet?

K: Je ne veux pas être une danseuse professionnelle. Je veux juste être en mesure d'aller sur la piste de danse et de faire un carton. Je veux avoir la capacité de permettre à mon corps de se déplacer. Je veux juste tout déchirer. Je tiens aussi à apprendre le français, parce que j'ai beaucoup d'amis français, et je veux être en mesure d'avoir des conversations avec eux.

 

J: Eh bien, ce sont de bonnes nouvelles et aussi longtemps que nous sommes ici, nous pouvons faire tout ça: nous avons le temps. Donc, tu porte un T-Shirt 'Dwarves'. L'un des premiers joueurs de guitare, dans mon groupe, était un gars nommée Clint qui était dans les 'Dwarves'.

K: C'est bizarre parce que en regardant ce T-Shirt ce matin et je me disais: "Je ne connais pas ce groupe, donc dois je le porter?"

 

J: Il est top cool! Tu sais ce que nous à faire pour nous habiller, mais comment te sens-tu maintenant que tu as trouvé ton propre style? As-tu des stylistes qui gravitent autour de toi?

K: Je veux dire, je travaille avec Chanel. Mais de manière générale, il y a toujours un couple de stylistes qui m'as toujours plu: Nicolas Ghesquière est quelqu'un dont je suis une grande fan. La mode peut être amusante, elle m'inspire. J'aime être accompagnée de quelqu'un qui aime compulsivement faire les choses.

 

J: Qui est ton mentor? Le mien est Amy Schumer. Je l'adore. Elle est "Les filles, vous avez juste besoin d'arrêter de vous excusez en permance'. Je joue une détective dans une série appelée "Secrets And Lies" et mon personnage ne dit pas: "Je suis désolée, je dois juste prendre 10 minutes de votre temps." Elle n'as pas besoin de ce genre de subtilités sociales. Et je respecte cela.

K: Je m'excuse constamment. Comme pour les mentors, j'admire ma mère, elle as toujours été travailleuse.

 

J: J'aime quand tu dit 'Travailleuse'.

K: J'ai toujours admirée les femmes qui sont incapables de se concentrer sur des choses qui ne comptent pas parce qu'elles sont tellement prises avec leurs centres d'intérêts et les choses qu'elles aiment créer. Patti Smith est l'un de mes amies et sa devise c'est: "Toujours se remettre au travail". Trouver la source d'inspirtation, la garder et vous concentrer dessus.

 

J: Comment est tu devenue amie avec elle?

K:Nous étions au 'Boom Boom' [à New York] pour l'after-party d'un film qui je pense devais être 'On The Road'. Je me suis en quelque sorte cachée dans un coin, et elle est venue et m'as dit: "Hey, tu vas bien?". Puis elle m'as dit, "Je veux juste que tu saches que les gens se soucient de toi, qui nous sommes là pour toi." Et nous sommes en quelque sorte restée en contact. Ensuite, je suis revenue à New York, et elle est revenue vers moi avec une autre personne - qui était là depuis longtemps puisque nous avions parlés ensemble - et elle m'as dit "C'est la pleine lune ce soir, j'ai entendu dire que tu était en ville, donc je suis venue te trouver et tu es ici!". Et je me suis dit: "Tu ne dois jamais arrêter de dire les choses les plus cool."

 

J: Elle est un peu comme ton Maître Yoda, ce qui est fantastique. Elle est l'une des plus grandes écrivains. Elle est la personne la plus intransigeante, la plus radicale et la plus intrépide. Elle se promène dans la vie et rien d'autre ne l'influence. Je suis tellement contente que nous l'aillons. Donc, dans l'esprit de Patti Smith et tout les renégats, je dit "Keep It Dangerous" et "Ne laissez jamais la peur vous avalez." Sur ce message. Au revoir.

 

¤ Les dossiers de Kristen:

 

¤ Petits-déjeuner typique:

"Je suis la personne avec le moins d'habitude. Et je ne suis pas une personne à prendre un énorme petit-déjeuner. Je commence par faire un pudding, qui semble ridicule, mais il est si bon."

¤ Livre préféré:

"East of Eden" de John Steinberck. Je vais le relire un tas de fois avant de mourir."

¤ Le pire cauchemar:

"Je rêve parfois que je suis dans un endroit vaste et seule. Au début, je suis à l'aise parce que je sais qu'il y a personne, mais qand je commence à regarder autour de moi, je me rends compte que je ne sais pas où je suis et tout d'un coup: "Oh, merde!"

¤ Excercice de choix:

" J'ai une piscine à l'arrière de chez moi. L'effort physique est le meilleur moyen de réinitialiser mon esprit."

¤ Dernier repas:

"Je n'ai pas d'envie spéciale, mais je voudrai un steak. J'aime cuisiner, mais personne ne m'a appris. Je regarde beaucoup Food Network."

¤ Le meilleur conseil:

"Patti [Smith] m'as dit de prendre soin de mes dens et de mes poumons ..."

 

 

 

 

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