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The Real Kristen Stewart
11 mars 2015

Interview: CR Fashion Book

Nouvelle interview pour 'CR Fashion Book' ...

 

kristen-stewart-cr-fashion-book-04

 

(Merci de créditer le blog si vous postez cet article ailleurs)

 

Pour moi, la chose la plus intéressante chez une personne est le fait qu'elle ose; la sincérité, l'impulsion exprimée par le plaisir de le faire et non pas pour la perception. Je pense que c'est sey. Chaque fois que je vois quelqu'un faire quelque chose et à qui on dirai qu'ils ne peuvent pas le faire, ils ont simplement besoin de le faire. Ils ont besoin de créer. C'est une contrainte et je partage ça. Ces gens sont cool et mystérieux, un peu sombre et un peu élégants. Ce fait d'oser vient de quelque part. Il s'agit du désir, il s'agit de la curiosité et vous ne pouvez pas faire semblant.

C'est indescriptible. C'est juste une brûlure. Vous pouvez presque la sentir instantanément, cette curiosité innée, car tout le monde ne l'a pas. C'est ce qui m'attire foutrement. Si vous rencontrez quelqu'un qui vous enflamme, ou dions que vous êtes dans une pièce et que quelqu'un arrive et qu'il a cette vibration, les gens veulent ça. Une personne vibrante est toujours plus attirante.

Cette attraction est vachement magnétique. Vous avez vous-même le sentiment que vous voulez quelque chose de quelques, et vous vous dites: Wow, je ne te connais même pas mais je veux quelque chose venant de toi. Et je pense pouvoir te donner quelque chose. Ce n'est pas une chose égoiste, ça se passe entre nous et c'est mutuel. Et c'est presque toujours instantané. Ce n'est pas difficile pour moi de comprendre qui j'apprécie de qui sont mes amis. J'ai confiance en mon niveau d'énergie, mais je n'ai pas peur de laisser entrer les gens qui pourraient me faire du mal.

Je n'aborde pas du tout ma vie avec tact. Je suis incroyablement implusvie et très certainement une intense tordue. J'aime vivre et j'aime les gens. Ils m'électrisent et je veux toujours en savoir le plus possible. Ce n'est pas quelque chose que je peut éteindre et allumer.

Je personnalise absolument tout et la plupart des personnes avec qui je traine sont comme moi. Vous devez probablement être une sorte de personne auto-impliquée pour créer quelque chose. La plupart des gens créatifs sont conscients qu'ils sont un peu égocentriques, mais pour avoir une putain de petite dose de confiance en soi et être confiant dans votre travail, vous devez être un peu fou parce que croire en vous n'est pas toujours suffisant.

 Lorsque je choisis un personnage, c'est le même impulsion brûlante, presque comme une envie sociopathe. Ce sentiment style: Oh mon Dieu, pourquoi je sens comme ça? Que dois je ressentir, genre je pourrai mourrir pour ça? Cela doit être ressenti comme des haies, genre, si je ne tiens pas à ça et si je ne suis pas entièrement là pour cette personne, alors je pourrai avoir la capacité de les supprimer. Incarner un personnage est une énorme responsabilitée pour une groupe de personnes qui mettent leurs coeurs, leurs âmes et les sang dedans. Et finalement, quelque part, c'est rendre justice à quelqu'un.

Cette pression me pousse et je suis en quelque sorte une extrémiste. Parfois, les films sont tournés en seulement vingt jours et j'ai l'endurance de me permettre de devenir totalement obsédée par quelque chose durant cet intervalle de temps. Je peux le supporter. Je peux vraiment me battre et j'aime avoir le sentiment d'être complètement hors de contrôle. J'aime cette idée - simplement me sentir soumise de quelque chose, comme si ce monde existe mais séparé de moi. J'aime me mettre dans des situations compliquées. Alors, j'ai le sentiement d'être plus complète, puisqu'a la fin, j'ai le sentiment d'être allée jusqu'au bout. Et ça en vaut vraiment la peine. C'est comme une étincelle dans une bouteille. Si vous ne l'attrapez pas dans la seconde, alors elle disparait. La chose étrange c'est quand ça se termine, c'est ce sentiment très surréaliste de s'être aventurée dans un monde qui disparaît. C'est terminé, complètement terminé.

Mais chaque fille que j'ai interpêtée est encore implantée en moi. Oui, évidemment, il y a une séparation. Nous ne sommes pas ces gens que nous incarnons. Dans le même temps, chaque rôle représente une étape de ma vie à laquelle je me sens peronnellement connectée. Curieusement, les souvenirs du personnage sont les miens.

 

 

Source: KstewartFans

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