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The Real Kristen Stewart
14 novembre 2016

Interview Equals: The Hollywood Reporter

Nouvelle/Ancienne interview de Kristen et Nicholas Hoult pour 'The Hollywood Reporter' lors de la promo d'Equals ...

 

Kristen Stewart & Nicholas Hoult Equals TIFF BBC Portrait

 

(Interview traduite par Caroline merci de respecter son travail)

 

"Vous vous sentez comme si vous étiez déchiré en deux et ça fait mal mais de la meilleure des façons" dit Stewart, qui est la star donnant la réplique à Hoult dans la romance de science-fiction de Drake Doremus, sur le fait de tomber amoureux.

Kristen Stewart et Nicholas Hoult se glissent dans la chambre du London Hotel, proclamant tous les deux presque en même temps "Il fait très sombre ici !". Ils se précipitent chacun sur différents interrupteurs pour essayer d’apporter un peu de lumière dans cette chambre cossue du London Hotel ce 8 juillet après-midi.

Malheureusement, ils n’arrivent pas à trouver. La pièce, bien qu’agréable, n’est pas comme ce qui était installé lors de leur dernier film, 'Equals' de Drake Doremus, placé dans une société futuriste où les émotions n’existent pas, mais la technologie a fait que la vie est minimaliste et en ligne droite (le film était tourné au préalable au Japon et à Singapour).

Cependant, même dans l’ombre de la chambre d’hôtel où se passe l’interview, il est clair que le duo, qui joue deux jeunes personnes qui se retrouvent avec une "maladie" qui leur permet de retrouver des émotions et de tomber amoureux, ont développé une forte amitié, riant facilement l’un de l’autre et faisant référence à des blagues vécues entre eux sur le tournage. C’est normal qu’ils soient devenus si proches. Doremus les a  mis dans un processus à même de former un lien entre eux lors des répétitions, qui impliquait des exercices comme se regarder l’un l’autre et juste se dire "salut" encore et encore, et se regarder dans le fond des yeux pendant longtemps en n’étant autorisé à seulement se dire des vérités ou des mensonges. Ils ont aussi passé du temps à échanger leurs pensées sur un certain nombre de sujet comme l’amour et les relations amoureuses.

En plus, comme le disent Stewart et Hoult à THR, ils allaient faire du skateboard à 4 h du matin, passaient des soirées à boire dans un bar et allaient faire des courses de karting pendant leurs jours de repos. Avant la sortie d'Equals le 15 juillet via A24, les stars parlèrent à THR de leurs aventures, de tourner en Asie et de ce qu’on ressent quand on tombe amoureux.

 

Parlez-moi  de la première fois où vous vous êtes rencontrés.

Hoult : C’était à LA. C’était l’anniversaire de Kristen. J’y suis juste allé avec un ami et je lui ai payé un shot de téquila pour lui dire « bon  anniversaire ». C’était des années avant qu’on fasse ce film. Elle ne s’en souvient pas.

Stewart : (rire) Je ne me rappelle pas du tout de ça.

 

Alors, vous vous êtes souvenu de ça quand vous vous êtes à nouveau rencontrés pour le film ?

Stewart : Non, Je viens juste d’apprendre ça aujourd’hui en faisant les interviews (rires).

 

Donc quand vous êtes-vous rencontrés pour la première fois pour le film ?

Hoult : C’était dans la maison de Drake. Nous nous sommes juste assis et nous avons parlé du script. C’était la première fois que je me disais "Merde, cette fille est si intelligente. Elle a des idées super." Mais j’avais aussi très faim, parce que je n’avais pas mangé. Il y avait ces plateaux de fromages, et j’ai mangé tout le fromage.

Stewart : C’était subtile la façon dont il prenait le fromage. C’était comme s’il prenait un morceau  à chaque fois qu’il y avait une petite accalmie, ce qui était rare (rires). Drake avait en quelque sorte développé ce projet avec Nick en tête. J’ai été castée d’une manière plus traditionnelle. Alors j’arrivais prête à prouver que je devais avoir ce job.

Hoult :  Mais je ne pense pas qu’aucun d’entre nous n’aurait pu le faire sans l’autre, parce que Drake avait besoin de gens qui se correspondaient et marchaient bien ensemble.

 

A part les exercices que Drake vous faisait faire, est-ce que faire de la tyrolienne et du karting faisait aussi partie de l’expérience permettant de créer un lien ?

Hoult : Oh non, ça, c’était juste pour s’amuser.

Stewart : C’était du tout-compris, cependant. C’était vraiment comme une expérience qui englobait tout. A chaque verre qu’on buvait de trop, c’était comme si on était meilleur le jour suivant à cause de ça. Drake nous encourageait à faire n’importe quoi, ça en devenait même flippant. Il aime prétendre qu’il avait peur qu’on aille faire du skateboard, mais il aimait le fait qu’on sorte jusqu’à 4 heure du matin et dévale une colline plutôt que d’aller au lit ou d’apprendre nos textes. De savoir que parce qu’on avait pris du bon temps le soir d’avant on allait avoir une meilleure journée de travail le lendemain est une façon très cool de travailler.

 

Y a-t-il  quelque chose dans les cultures de Singapore ou du Japon que vous souhaiteriez avoir ici ?

Hoult : Il y a tellement plus de respect au Japon en terme de…

Stewart : L’un pour l’autre.

Hoult : Les uns pour les autres, et pour les anciens en particulier. C’est un système très différent.

Stewart : En parlant d’ancienneté, ils sont obsédés par l’équilibre. Vous pouvez sentir ça. Littéralement, dans la nourriture, c’est si équilibré. Il y a une harmonie que je ne sens pas aussi palpable à d’autres endroits. Parce que nous sommes dans cette position bizarre d’être connus du public, les gens révèlent les pires et les meilleurs côtés d’eux même plus vite que nous, alors d’être ici, c’était plutôt bien  parce que tout le monde était plutôt charmant. Il y a une dynamique sociale là-bas qui est plus agréable, parce que c’est équilibré.

 

Comment décrivez-vous le fait de tomber amoureux pour la première fois ?

Stewart : La première chose notable pour moi c’est physique. Mais ça m’est arrivé une paire de fois, donc ce n’est pas seulement juste la première fois, ce qui est plutôt encourageant. Nous avons essayé de décrire ce sentiment lors des répétitions. C’est comme si vous sentiez que vous êtes déchiré en deux, mais ça fait mal de la meilleure des façons.  Et c’est comme cette gouttière qui peut aussi flotter, et  ça brûle et c’est froid. C’est juste comme tous ces sentiments contradictoires qui implosent d’un coup. Vous voyez ce que je veux dire ?

Hoult : Je suis d’accord, mais je pense aussi que juste avant ça, je ressens comme un calme. Ce n’est pas le moment  de clarté, mais, vous savez, c’est comme une…  pause.

Stewart : Vraiment ? Pour moi c’est le contraire. Je pense que c’est un truc de mecs.

 

Pensez-vous à ce qui arrive à vos personnages après la fin du film ?

Stewart : C’est en quelque sorte dépendant du projet, mais dans ce cas, pour sûr. Le film n’est pas seulement sur le fait de tomber amoureux pour la première fois et d’en être transformé en un être fait d'émotion, parce que les gens vivent toujours ça à différents stades de leur vie. C’est comme si les gens sont en accord avec eux-mêmes à 5 ans et d’autres personnes ne se réveillent pas avant leurs putain de cinquantaine. C’est ça dans une relation qui démarre d’une façon vraiment sexy et forte et réelle et viscérale. Cet amour existe pour une raison. Et il s’agit d’être conscient que ça peut vous tomber dessus n’importe quand et que si ça existe, c’est pour une bonne raison, dès le départ. Et que vous pouvez finalement y prendre une part active pour l’enrichir. Le flux et le reflux pour maintenir l’amour et si oui ou non ça existe pour l’éternité.

 

Source: Team Kristen Site.

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