Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
The Real Kristen Stewart
8 septembre 2012

Scans Magazine - Candada

Interview de Kristen dans la magazine Canadien "ELLE" (Edition Octobre 2012) ...

 

elle_01-749x1024

 

elle_02elle_03

 

VIE EXPOSÉE – Kristen Stewart parle d’avoir grandi sous les projecteurs. Par Kathryn Hudson

Quand vous parlez de Kristen Stewart, ça semble impossible de garder le tourbillon controversé de sa vie privée. J’ai parlé rapidement avec l’actrice avant ses photo maintenant très connues qui ont circulées-je n’ai pas d’informations de dernière minute. En fait, je vais m’éloigner de tout ça pour éviter les menaces de mort des Twihard et des rumeurs sur Twitter…

Voici ce que je dirais…

Stewart laisse tomber un indice d’elle-même avant même que nous nous sommes formellement présentées. « Salut, Kat ? C’est Kristen, » dit-elle, de son voix monotone incontestable à travers le combiné de où elle est à Paris jusqu’à ce téléphone dans ma main,

C’est l’indice.

Parce que ce n’est pas comme ça que ça se passe généralement. Normalement, un publiciste parle pour voir si tu es prête à parler à « Mlle. Stewart, » ou n’importe quelle personne assez célèbre pour que ça semble malpolie de les appeler initialement par leur prénom (même si ils sont constamment plus jeune que toi). Puis la publiciste te passe à l’assistant, qui ensuite (et je n’ai pas de preuve mais je me le suis souvent imaginé comme ça) donne le téléphone à l’oreille de la célébrité pour la durée du chat.

Il semble qu’à 22 ans, Stewart rend la numérotation.

"Mais comme le soleil s’éteint sur Twilight, nous parlons de son rôle en tant qu’égérie du nouveau parfum de Balenciaga, Florabotanica, des voyous de lycée, de tartes et d’apprendre à ne pas s’inquiéter des intrviews."

Félicitation pour avoir été nommé actrice la mieux payée dans Forbs. Comment mesure-tu ton succès?

"Ces listes de Forbes sont de la putain de merde. Vraiment, c’est ridicule. La liste elle-même est d’une façon mais sans détails-pas que ça compte… Je ne serais jamais le type de personne qui s’assoie sur une grosse montagne d’argent. Les choses se stagnent. Mais au niveau du succès, je ne me suis jamais autant sentie défié. Je suis tellement prête à travailler maintenant. Si je peux me sentir autant défiée que maintenant, je me sentirais en réussite."

"Qu’est-ce que ça fait maintenant que Twilight arrive à sa fin?"

"Beaucoup projet où j’ai participé était court. Pour Twilight, on a eu quatre ans à être plus que putain d’obsédé à ce seul projet et à être indulgent. L’étrange truc qui est la raison de commencer un projet est pour le finir : Tu veux que cette histoire soit racontée. Mais pour avoir cette tension pendant les quatre dernières années c’est remarquable. Le soulagement qui va avec c’est que c’est encore plus palpable. Twilight est quelque chose qui m’est si proche, je ne peux même pas l’expliquer. Quatre ans… C’est le lycée, tu sais ?"

Tu sembles très ambitieuse.

"Quand j’ai tout d’abord commencé, l’idée de base était que je voulais juste un travail. J’ai regardé mes parents et j’ai pensé que ce qu’ils faisaient était tellement cool. Je suis née sur un tournage et je voulais que les adultes me parlent, et cela vient vraiment de là."

Et maintenant tu es impliquée dans la mode. Qu’est-ce qui t’y intéresse?

"Dans la vie de tout les jours, on rencontre des esprits intéressants. J’ai rencontré Nic (Ghesquière) quand j’avais 15 ans. Quand ils ont dit que j’allais faire cet exposition Balenciaga pour Interview Magazine, j’étais genre, ‘Whoa !’ Je ne connaissais aucun nom de designers, mais je savais ça. C’est une étrange relation que les acteurs ont la possibilité d’avoir avec la mode- je n’ai rien avoir avec ; je ne le fais pas. Ma capacité à créer n’a rien avoir avec les vêtements. Mais mon intérêt est d’être autour de cette énergie créative, même si ça n’a rien avoir avec moi. C’est si addictif. Quand une collection défile sur le podium, ça raconte une histoire. C’est un genre d’esprit d’un petit film."

Pourquoi pensez-vous que Ghesquiere vous voulait pour être l’image du parfum?

"J’ai rencontré certain réalisateurs et quelque fois tu le sais juste instantanément. Tu serres la main de quelqu’un et tu penses, ‘Whoa, on a besoin de travailler ensemble.’ Donc il dirait probablement (l’imitant) ‘elle avait un esprit intéressant.’"(Rires) Vous donnez souvent l’impression de vous excusez quand on parle de votre style occasionnel. Qu’est qui te fait sentir bien?

"Oui, je m’excuse beaucoup en interviews à ce propos. Pas que je suis quelqu’un excusante… Je me sens si bien dans une paire de jean qui me va bien, putain. Patti Smith avait toujours un trench coat-quelque chose que tu peux garder pendant 15 ans et que tu peux porter sans rien. Donc oui, maintenant, je ne peux pas m’arrêtr de porter cette veste de motard Balenciaga. A chaque évènement je l’ai pris dans ces derniers six mois, j’ai dormi dedans. Je ne pense pas que j’ai arrêtera un jour de la porter pour le reste de ma vie- à moins que je devienne obèse." (Rires)

Kate Moss est une icône de la mode, et elle porte souvent des baskets et des jeans. C’est un style personnel, comme n’importe quel autre.

"J’aime être capable de bouger. J’aime paraître costaud. Je déteste les vêtements qui ne me permettent pas de bouger. Les vêtements peuvent vraiment vous rabaisser."

C’est marrant que vous vouliez paraître costaud parce que je pense que beaucoup de filles aujourd’hui veulent paraître délicates, spécialement en talons.

"Je me sens toujours chanceler sur des escarpins, du moins que les tapis rouge-surtout en marchant autour des fans. Je déteste les prendre de haut. Donc je veux descendre de ces choses."

Tu as travaillé avec quelques cool rebelles, comme Joan Jett. Qu’est-ce qui est rebelle en toi?



"Juste avec ce que j’ai jouée dans Blanche Neige, tout le monde est genre, ‘Tu joues tout ces forts personnages ; ça doit être super important pour toi d’être une fille forte.’ Tout le but est que dès que tu le mentionne, tu le discrédites. ‘Oh ouais, forte pour une fille. Merci.’ Je pense que quand ta perspective est légèrement différente des autres personnes et tu dois avoir confiance en toi et la force du cœur à suivre ça, c’est un rebel."

Vous avez été harcelée à l’école. Avez-vous déjà été confrontée à ce genre d’enfant?

"Non. (Rires) Mon dieu, j’aimerai bien. Pas que je ferais quelque chose. Juste pour grandir et les voir encore, en dehors de tout ça, serait une chose intéressante … Ouais, bordel. C’est juste naturel."

Vous dîtes que ce que vous faîtes pour vivre est la chose la plus importante à propos de vous. Mais que faîtes-vous d’autres?

"Le travail est étrange parce que tout est réunis en un. Mes meilleurs amis, qui m’inspirent constamment, sont réalisateurs ou acteurs. C’est toujours genre, ‘Peut être qu’on devrait faire un film à ce propos.’ Tu ne sens jamais si tu travailles ou si tu ne travailles pas. Je veux dire, j’adore jouer de la musique- je joue de la guitare. Je sais pas … Qu’est-ce qui t’intéresse ?"

J’aime cusiner.

"J’aime cuisiner aussi. Je suis obsédé par ça."

Quel genre de truc vous faîtes?

"J’aime faire de l’italien et de la bonne nourriture traditionnelle américaine."

Aimez-vous faire de la pâtisserie?

"Pas vraiment. Ce qui m’a tout d’abord amener à la cuisine fut de faire des tartes. Mais je détestais la partie de la croûte. Je n’arrivais jamais à bien la faire. L’alchimie derrière la pâtisserie est trop rigide. Tu passes tellement de temps à pâtisser quelque chose, et ensuite à la fin, si ce n’est pas parfait, c’est juste une grosse perte de temps. Tu es genre, ‘j’ai passé toute ma journée sur cette merde !’ (Rires) Je suis la plus fière, arrogante cuisinière. Je ne m’assis même pas, je mets juste la table et reste debout et regarde tout le monde manger et je mange après."

Tu sembles aisée à parler. J’ai lu tellement de choses à propos de personnes étant en dur avec vous pour ne pas être une super-bavarde. Ça t’inquiète?

"J’ai follement grandi… J’étais vraiment brut, et je me la suis fermé presque complètement. Je pense que ce qui a été montré auparavant était la création de cette dureté vraiment grossière dont j’ai en réalité vraiment réussie à me débarrasser. J’ai maintenant créé une limite."

C’est probablement que qui arrive d’une adolescente à une jeune adulte qui ressent comme beaucoup de personnes.

"Je le pense aussi. C’est juste vraiment exagéré maintenant que tout le monde y fait attention. C’est d’un niveau si détaché, genre ça veut rien dire. Rien de tout ça te touche, de toute façon. A moins que tu te regardes, tu ne vas jamais le voir. Bien que, de l’énergie de certaines interviews, tu le sais instantanément. C’est genre ‘Tu me méprise absolument mais tu ne me connais même pas."Source: KstewartNews

 

 Source: KstewartNews / Traduction: It's ok to be you

Publicité
Publicité
Commentaires
The Real Kristen Stewart
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 449 906
Archives
Publicité