Interview Café Society: Yahoo! Movies

Nouvelle interview de Kristen pour 'Yahoo! Movies' lors de la promo de 'Café Society' ...

(Merci de créditer le blog si vous postez cette traduction ailleurs)

Depuis la fin de la Saga Twilight en 2012, Kristen Stewat a pris un congé sabbatique prolongé des blockbusters réalisé en studio, pour revenir dans le monde du cinéma indépendant et étranger avec des films tels que 'Still Alice' et 'Clouds of Sils Maria'. Maintenant, à 26 ans, l'actrice est de retour à Hollywood, après une mode, dans le dernier long métrage de Woody Allen, 'Café Society'.

Dans ce film, situé à Tinseltown au milieu dans années 30, glamour fastueux, Stewart joue Vonnie, une secrétaire dans une agence de talent gérée par Phil Stern (Steve Carell), qui se trouve également être son amant.

Mais cette relation tumultueuse se complique, quand Vonnie tombe sous le charme du neveu de son amant, le jeune et ambitieux Bobby Stern (Jesse Eisenberg), à moins que ce soit Phil qui ne fasse une terrible erreur en la laissant partir. Avec ses recherches pointues sur la superficialité du La-La-Land, sans parler de son point de vue sur l'amour et la piqûre de rappel persistante sur les chemins non pris - 'Café Society' est très certainement une vision typique de Woody Allen sur une histoire d'amour atypique à Hollywood. (Il sortira dans certains cinémas le 15 Juillet). Yahoo Movies à discuté avec Stewart à propos de cette première avec le réalisateur emblématique, de New York et si jamais elle se voyait retourner dans la folie d'Hollywood.

¤ Presque chaque acteur ayant travaillé avec Woody Allen a une histoire mémorable à raconter à propos de leur premier jour sur le plateau. Quel est le vôtre?

Honnêtement, je pense que c'est à peu près la même histoire que tout le monde. Je pensais: 'Il va me détester. Il va en fait regretter sa décision' [Rires] Mais alors, je me suis dit: 'Je vais prouver à ce petit mec que je peux vraiment le faire! Peut-être que je n'ai pas le même comportement que mon personnage, mais je vais le faire lorsque vous allez criez "Action". Le premier jour, il est venu vers moi et m'as dit quelque chose comme 'Tu a l'air horrible. Tu es censée être belle.' Mais ce n'était pas personnel, et il ne cherchais pas à m'offenser. Quoi qu'il en soit, il sait qu'il est drôle. Il n'est pas ce genre de personne qui aime les acteurs qui sont totalement des ânes avec des égos surdimensionnés. Je me sens comme si il avait une marionnette pour dire 'On peut les prendre, ils sont cool. Et si ils ne peuvent pas, alors qu'ils aillent se faire f*****.'

¤ Est ce que ça vous à aidez d'avoir Jesse Eisenberg comme co-star? Il a déjà travaillé avec Allen, et vous avez tournés ensemble dans les films 'Adventureland' et 'American Ultra'.

Jesse est une personne très apaisante pour moi [parce que] quand je travaille je suis trop dans l'analyse.Et le premier jour,il m'as certainement dit: 'Il est normal. A sa façon [Allen].'Je suis tellement chanceuse qu'il est fait ce film avec moi, parce que je ne me sens jamais gêné avec lui près de moi. Et puisque je jouais quelqu'un qui est à l'opposé de ce que je suis, ça m'as permis de me lâcher [devant lui] et de ne pas me sentir embarassée.

¤ Dans le film, Vonnie doit choisir entre deux homme très diffférents, qui sont tout les deux très désireux de l'épouser. Etais-ce simplement une réalité de l'époque, elle devait choisir entre l'un d'eux, par opposition à la poursuite de son propre chemin?

Je n'ai jamais penser que Vonnie pouvait avoir des sentiments. La façon dont je l'ai vu, senti et jouée - même si je déteste ce mot,parce que vous ne "jouez" pas - et pourtant elle est véritablement tombée amoureuse de ces deux hommes. A cette époque, si vous n'étiez pas marier à un certain âge, cela voulais dire que vous aviez échouez. Mais je pense que Vonnie n'as pas vraiment conscience de ces détails. Peut-être qu'il est difficile pour vous de voir pourquoi elle aime Bobby, mais elle l'aime. Et Phil fait ressortir un côté différent d'elle que Bobby. C'est la vie. Il est normal d'avoir plusieurs amours dans une vie. Et c'est une notion moderne, c'est une chose que les femmes sont autorisées à dire.

¤ En plus de 'Café Society', il y a aussi le thriller d'Olivier Assayas 'Personal Shopper',que vous avez également présenter au Festival de Cannes cette année, lorsque ce dernier à été projeté il a été hué par une partie de la presse. Etait-ce une expérience étrange?

Oui, tout à fait. Nous allons [à Cannes] dans une bulle de bonheur en sachant que nous avons fait le film que nous voulions faire, et c'est certainement une expérience plus amusante quand d'autres personnes sont d'accord avec vous. [Rires] Mais 'Personal Shopper' est un film pour lequel vous ne pouvez pas avoir de réaction immédiate. Si nous avons fait notre travail correctement, alors il fait partie de ces films ou, après la séance, vous êtes assis dans votre voiture avec votre ami et ou il vous est impossible d'en parler tout de suite. Les journalistes veulent toujours être de ceux qui sont autorisés à donner le premier avis, et quand tout le monde à hué, peut-être qu'ils ont ressenti: 'Je ne sais pas comment je me sens par rapport à ça!' Ou, qui sait,peut-être qu'ils ont tous vraiment détesté. Mais au cours de cette semaine, les réactions ont changés. C'était l'un des films pour lequel les gens ont besoin d'y réfléchir plus tard.

¤ Vous avez travaillé avec trois cinéastes très différents récemment: Woody Allen, Olivier Assayas et Drake Doremus, qui à réalisé le film de science-fiction Equals. Leurs films ne sont en rien semblable, mais avez-vous remarqué des similitudes dans leurs façons de diriger?

Une chose qu'ils partagent tous c'est que si ils vous voient marcher vers quelque chose, ça n'as pas d'importance pour eux de savoir de quel manière vous allez vous y rendre. Ils veulent voir votre cheminement,et une fois que vous y arrivez, que vous faites en sorte de regarder par dessus votre épaule et de dire "Oh mon dieu, on y est!" Et ils vous répondent: "Non, tu à réussi.' Et c'est un super sentiment.

Mais dans le style, ils sont très différents. Woody ne parle pas beaucoup, tout le travail est dans le script, puis il vous donne quelques instructions. Drake est à fond dans le processus, et ne soucie pas du tout du dialogue. C'est très méditatif, avec lui, il ne revient sur des scènes de structuration, il tombe sur quelque chose, souffre dessus et vois ce que c'est. Olivier est capable de faire les deux en même temps. Il est dingue. Quand j'ai lu'Personal Shopper',je me suis dit 'Tu as écrit ça?'. Ce film est fou.

¤ Vous avez pris la décision, très réfléchis, de poursuivre les petits films après la fin de la Saga Twilight. N'avez-vous jamais eu envie de retourner dans le royaume des films à gros budget?

J'aimerai être intéréssée par un film à gros budget, assez pour signer. J'attend! Mon approche est d'investir du temps dans des choses qui sont vraiment sans rapport avec sa taille. C'est ce qu'il y a à l'intérieur de celui çi qui compte. Twilight avait commencer petit, puis c'est devenu de plus en plus grand, mais [au fond] c'était toujours le même.

¤ Si jamais il y avais un reboot de Twilight, envisageriez-vous de revenir, en quelque sorte?

Pour être honnête, nous avons fait le tour. Nous avons fait cinq films, alors peut-être pas![Rires]

Source:KstewartNews.