Interview: Elle Afrique du Sud

Nouvelle interview de Kristen pour 'ELLE Afrique du Sud' lors de la promo de Rosabotanica ...

Comment décririez-vous la séance photo?

KS: J'ai toujours eu l'impression qu'il y avait ce sens de la découverte dans ces photos, en particulier en les regardant. C'était comme si vous aviez cette fille tombée dans un endroit très inconnu; et de la voir lutter pour survivre et se trouver, qui elle est vraiment, est intéressant. On dirait que quelques vignes commencent à pousser sur elle et qu'elles deviennent une part d'elle et qu'elle est clairement très à l'aise, se l'appropriant plus. Ce n'est pas désarmant, c'est plutôt le contraire; c'est un peu plus affirmé.

Quand vous étiez sur le plateau, étiez-vous photographiée?

KS: Dans ce cas précis? Les toutes premières photos de la première campagne étaient toutes vraiment de face et de haut en bas, vous pouviez voir mon visage en entier. Je ne me cachais pas vraiment derrière quelque chose. Là cette séance photo est en quelque sorte un peu plus subtile. Elle est par dessus l'épaule, c'est genre wow. J'ai été dans mon propre monde pendant si longtemps, qui me regarde? C'est un peu, je ne veux pas dire agressif, mais c'est comme, quoi? Allez-y.

Cette séance photo était plus confortable que la dernière?

KS: J'ai envie de dire que j'ai aimée les deux. Tu ne peux pas commencer à partir d'ici - tu dois commencer par le début. Donc c'est intéressant de voir où elle va.

Comment vous êtes-vous préparée pour cette séance photo? Où y êtes-vous allée en suivant le mouvement?

KS: Dans ce cas-là j'y suis allée comme ça. Je fais vraiment confiance aux personnes avec qui nous travaillons et je ne savais pas vraiment ce qu'on allait faire exactement avant que j'y sois, ce que j'aime bien. J'aime pouvoir naviguer à travers quelque chose. Dans ce cas-là il n'y avait pas beaucoup de préparation pour être honnête. Ce que j'aime à ce sujet c'est que je n'ai pas forcément eu à me transformer en une personne différente. Le but était de capturer quelque chose de naturel, et avec Craig c'est facile.

Comment est-ce de travailler avec Craig McDean?

KS: Génial. J'ai déjà travaillé avec lui une fois. C'est marrant, j'ai tendance à dire la même chose des photographes avec qui j'aime vraiment travailler, mais si jamais t'as l'impression que tu forces les choses, ou essayes d'avoir le bon cliché, soudainement ce n'est plus amusant. Je pense que Craig ne laisse jamais ça arriver. C'est toujours comme tomber du camion et Craig est toujours capable de le remonter et de le polir et d'en faire une très belle chose. Tu regardes en arrière et te dis, comment c'était arrivé? On est juste là depuis cinq minutes! Il peut capturer un moment plutôt que d'essayer d'orchestrer quelque chose et de le construire et de le forcer.

Vous avez aimé votre maquillage?

KS: Ouais - je n'ai jamais vraiment trop penser à ça. J'étais comme, des yeux bien marqués, lèvres, qu'est-ce qu'on va faire aujourd'hui? Je suis comme ouais tout ce que vous voulez! C'est bien parce que c'est très conforme à l'histoire. Le premier était très frais. Il était très propre, clair et sur le visage. Avec celui-ci, il y a un peu plus de vécu avec un smoky.

Quel est votre style personnel et comment le définissez-vous? Qu'est-ce que vous avez à dire dessus?

KS: Ce n'est pas quelque chose pour lequel je dois faire beaucoup d’efforts. Je dois faire un effort pour répondre à ce genre de questions. Comment définissez-vous cool, qui est très subjectif. Quand quelqu'un est dans son propre corps, tu peux le sentir au plus profond de toi que tu t'aimes. Ce n'est pas une question d'être arrogante - comme oh je pense que j'ai l'air superbe. Mais si tu te sens moins que superbe ça se sent. N'essayes pas trop - vraiment simple. C'est genre la chose la plus cliché que je puisse dire, mais tu as juste en quelque sorte besoin d'être toi-même et de faire avec.

Définissez-vous votre style de cette façon? Qu'est-ce que vous trouvez beau?

KS: En général je pense que les gens sont attirés par - pas l'assurance, mais l'idée de quand vous ne doutez pas de vous-même, quand c'est clair que vous n'êtes pas inquiet de ce que vous pensez. C'est une curiosité - quand tout n'est pas complétement sur la surface. Vous vous demandez quels éléments s'assemblent pour faire ça. Je ne comprends pas l'équation.

Parlons du parfum - comment en décririez-vous l'odeur?

KS: C'est marrant parce que dans ma tête, la façon dont je réponds aux deux parfums est presque l'inverse de l'histoire parce que dans le premier il y avait un feu chez lui. C'est presque comme si les fleurs qu'ils ont choisi, ont été entassées ensemble et ne veulent pas forcément s'entendre. C'était bon - il y avait une chaleur chez lui. Et celui-ci est plus léger. C'est un parfum frais. Je ne sais pas comme le décrire. Je ne sais pas si il sent nécessairement comme une rose mais il semble un peu plus frais. Ils sont tous les deux naturels, ce que j'aime. Il ne sent pas le synthétique. Celui-ci est plus léger, il est plus frais.

Donc vous êtes dans ce magique mais étrange jardin, dois-je supposer que vous jardinez? Avez-vous un jardin? Avez-vous le temps de jardiner?

KS: Non - je n'ai pas de jardin. J'aimerais avoir un jardin. J'aimerais avoir un jardin d'herbes aromatiques. Je n'ai pas encore eu l'un de ceux-là. Je pourrais vraiment en faire bon usage. En ce moment je n'ai pas été assez à la maison.

Avez-vous une fleur préférée?

KS: Je pense que la gardénia est ma fleur préférée. C'est mon odeur préférée. Je l'adore. Je ne crois pas pouvoir identifier d'autres parfums de fleurs, mais celle-là, je connais celle-là.

Source et Traduction: It's Ok To Be You